mercredi 16 juin 2010

Lèche ma chatte, connard.

Les mecs vous m'agressez.
Toi, là. Ton opinion personnelle quant à la valeur de ma plastique, tu peux la garder pour toi. Je crois pas t'avoir sollicité sur la question.
Et toi. Pourquoi tu me racontes ta vie ? Tais-toi juste et bouffe ma chatte. Tes coups de bites m'ennuient déjà suffisamment pour pas avoir à en rajouter avec une logorrhée assommante. Baise. Fais déjà ça. J'ai très peu d'attentes te concernant.
Mais toi putain. Pourquoi tu te barres toi ? T'étais mon seul espoir. La seule bite active dans mon entourage qui soit rattachée à quelque chose qui se rapproche un tant soit peu du concept d'être humain. Tu peux pas t'en empêcher hein ? Dès qu'une jolie fille passe dans le coin il faut que tu tentes ta chance.
Je vous méprise tous.
Tout ce que vous pouvez avoir d'intéressant, vous le retranchez de votre puissance sexuelle. Tous ceux qui restent prêts à lever leur pénis, j'ai envie de leur péter les dents et de leur cracher à la figure.
Je vais retourner dans le gynécée. Là où on est bien. Là où on est toutes belles et drôles et intelligentes et intéressantes et sensibles.
Si tu veux me baiser, tu me trouveras au café avec les gonzesses. Mais steuplé tais-toi.
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