Des maisons. Les maisons qu'on apprend à dessiner, petit. Des plans de maisons qu'on invente. Celles qu'on construit sur le tapis pour les Playmobils. Celles en trois dimensions, en Légos ou en rondins de la cabane du forestier. Les maisons des Barbies, installées dans la bibliothèque sous les albums des Schtroumpfs.
Et rêver de maisons. Celle qu'on aura plus tard. Celle qu'on rêverait d'avoir. Celles qu'on croise dans la campagne sur la route des vacances et dont on fantasme les transformations. On fait des plans et des budgets. Et elles disparaissent.
Les maisons des autres, qu'on visite et qu'on réinvente. Qu'aurait-on fait à leur place ?
On passe en revue des centaines, des milliers de maisons. On y installe les copains, la famille, le buffet vintage de mamie, le piano, un amoureux, des animaux. Des enfants ?
Ces maisons-là n'ont jamais ni souris ni cafard.
Is this the end ?
Il y a 4 mois